vendredi 27 janvier 2017

Effectiveness of Seasonal Malaria Chemoprevention in Children under Ten Years of Age in Senegal: A Stepped-Wedge Cluster-Randomised Trial

Seasonal Malaria Chemoprevention (SMC) with sulfadoxine-pyrimethamine (SP) plus amodiaquine (AQ), given each month during the transmission season, is recommended for children living in areas of the Sahel where malaria transmission is highly seasonal. The recommendation for SMC is currently limited to children under five years of age, but, in many areas of seasonal transmission, the burden in older children may justify extending this age limit. This study was done to determine the effectiveness of SMC in Senegalese children up to ten years of age.

Methods and Findings

SMC was introduced into three districts over three years in central Senegal using a stepped-wedge cluster-randomised design. A census of the population was undertaken and a surveillance system was established to record all deaths and to record all cases of malaria seen at health facilities. A pharmacovigilance system was put in place to detect adverse drug reactions. Fifty-four health posts were randomised. Nine started implementation of SMC in 2008, 18 in 2009, and a further 18 in 2010, with 9 remaining as controls.....

lundi 23 janvier 2017

Coordination des activités du Malaria Capacity Development (MARCAD) au Sénégal

Le département de parasitologie a coordonné toutes les activités liées au programme MCDC ( Malaria Capacity Development Consortium) sein de la Faculté de Médecine de l'Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar  entre 2012 et 2016.

L'objectif du MCDC était le renforcement des capacités des PhD en matière de recherche sur le paludisme.


Towards understanding the epidemiology of Neisseria meningitidis in the African meningitis belt: a multi-disciplinary overview

1. Introduction

1.1. Epidemiological context


Meningococcal meningitis is an acute bacterial disease characterized by the sudden onset of fever, intense headache, nausea, stiff neck, and photophobia.1 The meningococcus Neisseria meningitidis is found only in humans and is transmitted from person to person by airborne droplets of respiratory or throat secretions.2 Most infections with Nm result in a period of asymptomatic pharyngeal carriage and only occasionally lead to severe invasive disease.3 Meningococcal meningitis is a serious public health problem because of its high case fatality rate4 and, in some regions, its propensity for epidemics.

The African meningitis belt is a region stretching from Senegal to Ethiopia with an estimated population exceeding 400 million people. A high seasonal incidence of meningitis has been recorded in the area for decades,5, 6 with epidemic waves occurring periodically but irregularly every 5–12 years.7 Seasonal hyperendemicity is observed every dry season between January and May, when weekly incidence rates rise up to 10/100 000 population throughout the African meningitis belt and can locally exceed 100/100 000 population.8, 9 Even with swift and........

jeudi 19 janvier 2017

22 jeunes scientifiques de l'UCAD formés sur les techniques de base statistique



Le Service de parasitologie de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar ( UCAD) a tenu, dans ses locaux, un cours d'initiation sur les bases en statistique destiné aux jeunes étudiants  l'Université de Dakar.



La rencontre tenue en fin  décembre a enregistré la participation de  22 jeunes scientifiques.

Venus de la Faculté des sciences et techniques et et  de la Faculté de Médecine, tous ont  bénéficié des cours  sur l'analyse des bases de données scientifiques dispensés par le docteur Prabin Dahal de l'Université  d'Oxford du Royaume-Uni.

A l'issue de la rencontre, tous les participants ont salué l'initiative du service de parasitologie. Ils ont exhorté à la pérennisation d'une telle activité.

 Depuis sa création, le Service de parasitologie mycologie de l'UCAD oeuvre pour assurer une bonne formation et l'acquisition de connaissances scientifiques nécessaires aux jeunes scientifiques. 

mercredi 11 janvier 2017

PALUDISME : L’OMS CERTIFIE SIX NOUVEAUX EXPERTS MICROSCOPISTES SÉNÉGALAIS

 Six des douze experts sénégalais ayant participé au cours international d’accréditation des microscopistes du paludisme, clôturé vendredi à Dakar, ont obtenu la certification de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

"Nous avons vraiment pu rehausser le niveau théorique de l’ensemble des participants au terme d’une formation de 5 jours sur la base des directives actuelles en matière de diagnostic et 50% des participants ont été certifiés experts OMS’’, a dit le professeur Daouda Ndiaye, le directeur du cours.

Au total 12 pharmaciens biologistes des hôpitaux chargés du diagnostic microscopique du paludisme, des techniciens des laboratoires des districts et des hôpitaux, ont participé à cette session de formation.

Elle a été initiée par le Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP), dans le cadre de sa stratégie de renforcement des compétences des acteurs du système de santé
‘’La microscopie peut régler beaucoup de problèmes. Tant qu’au Sénégal, nous n’avons pas des experts qui peuvent certifier des résultats, nous serons très loin de la qualité du diagnostic’’, a expliqué Pr Ndiaye.

Il a assuré que l’essentiel des résultats venant des régions de l’intérieur du Sénégal pourront davantage refléter ‘’la réalité’’ du paludisme au Sénégal avec la certification de ces experts par l’OMS.

Il s’est félicité du bon déroulement du cours, soulignant qu’il a surtout permis d’insister sur les ‘’stratégies les plus actuelles’’ dans le diagnostic microscopique comme l’’’identification des espèces parasitaires’’...

COURS OMS : LE PNLP AMBITIONNE D’ACCRÉDITER UN "MAXIMUM" DE PHARMACIENS ET TECHNICIENS

Le Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) cible pour les prochaines années "le maximum" de pharmaciens et de techniciens en charge du diagnostic pour le cours international d’accréditation OMS, débuté lundi à Dakar, a soutenu le chef de son bureau approvisionnement et gestion des stocks, docteur Ibrahima Diallo.
 
"Nous nous devons de renforcer davantage les capacités des prestataires pour pouvoir détecter les faibles parasitémies qui deviennent de plus en plus rares", a-t-il expliqué dans un entretien avec l’APS.
 
Le PNLP, en collaboration avec le service de parasitologie et de mycologie de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar, organise un cours international d’accréditation de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) sur les microscopistes du paludisme, au bénéfice d’une douzaine de pharmaciens, biologistes et techniciens de laboratoires. 
 
Selon le docteur Diallo, ce cours s’inscrit en droite ligne avec les stratégies d’élimination du paludisme, perspective pour laquelle "il est extrêmement important de s’assurer de l’expertise des techniciens des laboratoires dans leurs capacités à détecter, identifier et quantifier les portages parasitaires".
 
"La microscopie, explique le pharmacien, joue un rôle important dans le dispositif de prise en charge du paludisme, et on s’en rend compte notamment dans la région nord, où nous avons des zones vertes où on a tendance à avoir de faibles parasitémies".
 
"Ces parasitémies sont difficilement détectables par le Test de diagnostic rapide (TDR) et la microscopie, et pour les détecter, il faut des prestataires de qualité, bien formés, qui sont des torches pour leurs pairs et qui, avant de traiter un cas, doivent avoir une confirmation d’abord", ajoute-t-il.....

mardi 10 janvier 2017

Oumar Gaye Chef du service de parasitologie de l'UCAD distingué au Grand Prix du Chef de l'Etat pour les sciences.


Professeur Oumar Gaye, chef du service de parasitologie de l'Université de Dakar, a reçu le prix d'encouragement du Grand Prix du Président de la République Pour Les Sciences en 2012 sur les 88 candidatures .





Pr Oumar Gaye est titulaire d’un diplôme d’études approfondies (DEA) en sciences de l’environnement de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD).
Les recherches que mène son service sont orientées vers la mise en disposition d'informations pour l'aide à la décision.

Elles couvrent différents domaines des principales endémies parasitaires: clinique, biologique et épidémiologique.

M. Gaye préside la Commission recherche du Programme national de lutte contre le paludisme. Il est coordonnateur du Réseau de l’Afrique de l’Ouest pour la surveillance du traitement antipaludique.
La cérémonie de remise du Grand prix du président de la République pour les sciences s’est déroulée sous la présidence du chef de l’Etat Macky Sall.Oumar Gaye est titulaire d’un diplôme d’études approfondies (DEA) en sciences de l’environnement de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD).
M. Gaye préside la Commission recherche du Programme national de lutte contre le paludisme. Il est coordonnateur du Réseau de l’Afrique de l’Ouest pour la surveillance du traitement antipaludique.
La cérémonie de remise du Grand prix du président de la République pour les sciences s’est déroulée sous la présidence du chef de l’Etat Macky Sall.

lundi 9 janvier 2017

LE PALUDISME PEUT ÊTRE ÉLIMINÉ AU SÉNÉGAL D’ICI 5 ANS (CHERCHEUR)

 Dakar (Sénégal) Le Sénégal peut bien éliminer le paludisme d’ici 5 ans au plus en se dotant de l’ »illumigene®Malaria, un test moléculaire qui a aidé à régler les problèmes de sensibilité qui étaient décelés avec les tests antérieurs, a soutenu, jeudi à Dakar, son inventeur le professeur Daouda Ndiaye, spécialiste en Parasitologie et en Mycologie.

« Avec l’acquisition de ce nouvel outil de diagnostic, nous sommes persuadés que si nous avons l’accompagnement du gouvernement et de ses partenaires nous pouvons aller vers l’élimination du paludisme au nord avant d’aller régler les problèmes du sud », a souligné le directeur du Centre africain d’Ecellence sur la Génomique des maladies infectieuses basé à l’Université Chaikh Anta Diop de Dakar (UCAD).

Invité de la rédaction de l’APS, le chef de l’unité de Parasitologie-Mycologie du CHU de l’hôpital Aristide Le Dantec, a relevé que ’’certaines zones de pré élimination, comme le nord, peuvent, d’ici l’année prochaine ne plus connaître de paludisme’’.

« Je pense qu’on peut faire une élimination sectorielle avant de faire une élimination nationale, notamment dans certaines zones au nord du pays où le Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) a fait un excellent travail », a estimé Professeur Ndiaye, ancien interne des hôpitaux.

A ce propos, le chercheur associé à Harvard School de la santé publique, département d’immunologie et des maladies infectieuses a fait comprendre que le PNLP a promis de convaincre ses partenaires à l’aider à disposer de cet outil afin d’accompagner les stratégies permettant au Sénégal d’aller vers l’élimination du paludisme.

« Le chemin est cours, mais bien tracé. Et, ce n’est qu’un problème de timing, parce que si le test est disponible maintenant au Sénégal, comme dans certains pays européens et asiatiques qui se le sont appropriés, d’ici 5 ans on peut ne plus parler de paludisme au Sénégal », a ajouté le parasitologue.

Selon lui, « illumigene Malaria »est un test facile à réaliser parce que ne requérant pas une expertise technique de haut niveau du fait de la méthode innovante d’amplification moléculaire (LAMP) qui permet de disposer des résultats du test en moins d’une heure...

vendredi 6 janvier 2017

Présentation du Service de Parasitologie de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar


Le Service de Parasitologie Mycologie a été crée en 1960. il est logé au sein de la Faculté de Médecine de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar ( UCAD).



Il est spécialisé dans le domaine de l'enseignement et de la recherche sur les maladies parasitaires en particulier le Paludisme.



Le service offre également son aide à divers hôpitaux du Sénégal pour le diagnostic des maladies parasitaires.

Au sein de l'Université de Dakar, le service de Parasitologie Mycologie compte un groupe de partenaires.

Au plan national
Les médecins du service collaborent avec les différents démembrements du ministère de la Santé et du ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifiques sur les questions en rapport avec leur domaine d'expertise.

Au plan International
Le service de Parasitologie mycologie compte divers partenaires dans les pays de la sous-région au sein de la société africaine de parasitologie.
Au niveau international:

Le service de Parasitologie mycologie travaille également avec des universités européennes en particulier l’université de Londres. Le service compte aussi des partenaires aux Etats Unis.


Nos missions :

- Enseignement en médecine et   pharmacie

-Recherche sur les maladies parasitaires et mycosiques 


- Appui au diagnostic des maladies parasitaires au niveau des hôpitaux de Fann et le Dantec

 Nos produits :

Enseignement
Formation
Recherche

Appui au diagnostic des maladies parasitaires 

mercredi 4 janvier 2017

Prise en charge du paludisme: Des chercheurs mettent au point un nouveau test de diagnostic



Pour améliorer la prise en charge du paludisme, des chercheurs sénégalais, américains, européens, entre autres, ont mis en place un dispositif appelé « Illumigene malaria ».

Il s’agit d’un test de diagnostic et de détection qui permet au patient, en moins d’une heure, de savoir s’il est atteint ou non du paludisme. 



Les chercheurs des Centres de contrôle et de prévention des maladies (Cdc (en anglais) Atlanta), de Meridian Bioscience et de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) viennent de mettre au point un nouveau test de diagnostic du paludisme dénommé « Illumigene Malaria ». Il permet de détecter la présence du parasite. C’est un test efficace capable de traquer tous les parasites responsables de la malaria. « Illumigene Malaria » est 80.000 fois plus efficace ou sensible que les autres tests classiques. Il aide les praticiens à obtenir des diagnostics plus rapides et plus précis. Il permet un traitement accéléré avec de meilleurs résultats.

« Ce test est une révolution, car il établit une nouvelle norme d’excellence », a expliqué le Pr Daouda Ndiaye, chef du Service de Parasitologie-mycologie du Chun Le Dantec. Il est, par ailleurs, chercheur et enseignant à la Faculté médecine de l’Ucad. Le Pr Ndiaye et son équipe ont reçu, le 26 janvier 2016, un brevet pour le test « Illumigene Malaria ». Ils sont les seuls habilités à vendre ou à distribuer ce test au Sénégal et dans les autres pays africains. Le Pr Daouda Ndiaye fait partie de ceux qui ont travaillé pendant une dizaine d’années sur ce projet qui s’est conclu par la mise au point de ce test qu’il a qualifié, au cours d’une conférence de presse tenue hier, d’une méthode innovante d’amplification moléculaire.Pour améliorer la prise en charge du paludisme, des chercheurs sénégalais, américains, européens, entre autres, ont mis en place un dispositif appelé « Illumigene malaria ». Il s’agit d’un test de diagnostic et de détection qui permet au patient, en moins d’une heure, de savoir s’il est atteint ou non du paludisme.

Les chercheurs des Centres de contrôle et de prévention des maladies (Cdc (en anglais) Atlanta), de Meridian Bioscience et de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) viennent de mettre au point un nouveau test de diagnostic du paludisme dénommé « Illumigene Malaria ». Il permet de détecter la présence du parasite. C’est un test efficace capable de traquer tous les parasites responsables de la malaria. « Illumigene Malaria » est 80.000 fois plus efficace ou sensible que les autres tests classiques. Il aide les praticiens à obtenir des diagnostics plus rapides et plus précis. Il permet un traitement accéléré avec de meilleurs résultats.

« Ce test est une révolution, car il établit une nouvelle norme d’excellence », a expliqué le Pr Daouda Ndiaye, chef du Service de Parasitologie-mycologie du Chun Le Dantec. Il est, par ailleurs, chercheur et enseignant à la Faculté médecine de l’Ucad. Le Pr Ndiaye et son équipe ont reçu, le 26 janvier 2016, un brevet pour le test « Illumigene Malaria ». Ils sont les seuls habilités à vendre ou à distribuer ce test au Sénégal et dans les autres pays africains. Le Pr Daouda Ndiaye fait partie de ceux qui ont travaillé pendant une dizaine d’années sur ce projet qui s’est conclu par la mise au point de ce test qu’il a qualifié, au cours d’une conférence de presse tenue hier, d’une méthode innovante d’amplification moléculaire....